Book Of Revelation - Apocalypse

«Raft - Yaka Dansé»

Après avoir évoquer la "Genèse", (Genesis) je crois que lorsque l'ont parle du "Livre de l'Apocalypse" (Book Of Revelation), évidemment, le dernier livre de la Bible,  il est évident de s'inscrire dans une certaine forme de logique et en conclure que si le début parle du commencement, la fin, parle ... de la fin. Et c'est bien de cela dont je suis venu vous parler, après un très léger passage de l'Apocalypse, Livre 6, versets 1 à 8:

«Je regardai, quand l'agneau ouvrit un des sept sceaux, et j'entendis l'un des quatre êtres vivants qui disait comme d'une voix de tonnerre: "Viens." Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avec un arc; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaince.

Quand il ouvrit le second sceau, j'entendis le second être vivant qui disait: "Viens." Et il sortit un autre cheval, roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'enlever la paix de la Terre, afin que les hommes s'égorgeassent les uns les autres; et une grande épée lui fut donnée.

Quand il ouvrit le troisième sceau, j'entendis le troisième être vivant qui disait: "Viens." Je regardai, et voici, parut un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance dans sa main. Et j'entendis au milieu des quatre êtres vivants une voix qui disait: "Une mesure de blé pour un denier, et trois mesures d'orge pour un denier; mais ne fais point de mal à l'huile et au vin."

 Quand il ouvrit le quatrième sceau, j'entendis la voix du quatrième être vivant qui disait: "Viens." Je regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la Mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la Terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la Terre. »

Pour ceux qui ne l'aurait pas compris, nous parlions bien entendu, des quatre cavaliers de l'Apocalypse, Pestilence, l'Antéchrist qui contamine par le faux; Guerre, qui rompt la paix des hommes; Famine, qui désertifie la Terre et prive de nourriture; Mort, qui tue, peu importe qui, peu importe comment car oui, je ne pouvais pas parler de la fin de Dieu sans évoquer l'Apocalypse et donc ses annonceurs, les quatre cavaliers qui apparaitront avant la fin du Monde.

Mais si je tiens tant à parler de ma mort, c'est pour éviter que les autres ne le fassent mal, car la Mort doit être un plaisir, un changement d'état devant un but accompli, on devrait tous pouvoir mourir quand bon nous semble, au moment opportun, quand nous sommes en haut de l'échelle, c'est là, qu'il faudrait sauter, oui, car l'on dirait que vous êtes mort au plus mauvais moment, mais ce ne serait pas vrai, ceux qui meurent au mauvais moment, c'est ceux dont l'on s'attriste le moins de la mort, les bogus qui meurent malades et affaiblis en ne se réveillant pas un matin, ceux qui "allaient de toute façon partir dans peu de temps" car ces personnes ont probablement eu leur gloire, mais lorsqu'ils étaient arrivés en haut, ils ont continuer, et c'est là que la chute a été rude, elle les a fait retomber au plus bas, les rendant faibles et inaptes à quoi que ce soit, ils ont raté le passage et on dut se laisser emporter par la maladie.

Ce n'est pas la fin que je souhaites, d'une part parce que mon narcissisme éternel m'empeche d'accepter une fin qui manque d'autant de classe, et d'autre part parce que la Mort, comme je le disais doit être un plaisir, le passage à une autre étape, et pas la fin de la précédente. Moi, je veux mourir sur scène devant les projecteurs, au moment ou l'on vous regarde et ou l'on vous observe et vous admire, et à ce moment alors, la mort doit arriver par un arrêt du coeur, comme une finalité à ce rythme entêtant, et si cette chance n'arrive pas, provoquez là, narguez la dernière décision suprême que l'on ne veut pas que vous preniez et faites le bien, c'est en mourrant par choix, et non par dépit que l'on meurt correctement, et, je ne parle pas de suicide, car le suicide est un choix de dépit, et non un choix de plaisir.

Comments

[John]

petitun, j'ai parlé de MA mort
petideux, la mort, ça roxxe du poney rose de "Polly Pocket", celui qu'on peut coiffer en achetant la brosse "Polly Pocket" à 24,95€.

[Milly]

T'es glauque quand même.
A parler de la mort ettou, t'es Dieu okay mais bon u_u